samedi 23 mai 2009

citoyen d'ici


Je vous conseille vivement un tour sur le site de Den : http://citoyendici.blogspot.com
Humour au goût légèrement salé...sur les travers de notre société !!!

vendredi 22 mai 2009

Amma

Portrait d'Amma Amrita... La " mère " indienne.


Pardon aux lecteurs de ce blog pour une absence prolongée... mais...Ce blog sera sans doute arrêté prochainement.

S'agissant du livre Isis mon amour...patientons encore. Il viendra assurément, de toute façon sous forme d'album. Le temps n'a aucune importance.
L'auteur de ce blog travaille sur un projet dont vous aurez des nouvelles ici même Bientôt, d'ici Juillet, vous trouverez le lien vers un site pro.
A bientôt. Et merci à vous tous. Elvah (Jérôme)
PS : voyage prochain en Inde...

mercredi 8 avril 2009

Aquarelle...voie d'unité

Quel bonheur de peindre...un ravissement ...juste le mouvement du pinceau. Rien d'autre. La pensée s'est tue, c'est zen. On se prend en flagrant délit de présence à soi, présence au monde, présence à l'instant.
L'aquarelle expérimentée dans la nature (ou comme ici dans une ruelle de village !), c'est cela :
" Prenez conscience des bruits les plus subtils de la nature - la chute d'une feuille, le son d'une goutte d'eau de pluie qui tombe, le bourdonnement d'un insecte, le premier chant d'un oiseau au lever du soleil. Donnez-vous totalement à cette action d'écouter. Au-delà du son, il y a quelque chose de bien plus grand : la dimension sacrée de l'instant qui ne peut être apréhendée par la pensée..." Eckart Tolle Stillness speaks (le silence parle ?).
Alors, ainsi, on est présence, on est...ce que l'on est, Un avec le monde, Un sans second, Un sans rien d'autre...Instant présent : seule et unique réalité.
C'est trés chouette!

jeudi 26 mars 2009

Méditation

La lumière intemporelle... d'une méditation

Je suis l'Archange Mickhaël
Tu viens de me rencontrer dans l’espace sacré du cœur.
Tu es monté pour cela hors de l’espace limité de la dualité. Tu as pu voir d’abord en ton cœur, au delà de la porte brillante l’espace intime qui te relie à la source. Tu as vu la fontaine d’où jaillit toute vie. Tu t’es senti tout petit, la fontaine débordait de lumière sur toi et tu étais comme un enfant : te souviens-tu de la parole de Jésus « laissez venir à moi les petits enfants » ? Alors, voilà, à cet instant, tu étais un enfant de cinq ans au pied d’une fontaine miraculeuse d’où jaillissait une pluie infinie de lumière qui débordait de toute part des bords dorées de celle-ci et t’aspergeait. Soudain, tu as vu que tu grandissais, tu devenais un géant de lumière : c’était toi. Ce toi qui n’est pas Jérôme mais l’Être que tu es vraiment. Tu as vu la fontaine être à ton niveau puis tu l’as dépassé de plus en plus vite. Ton corps de géant était une pure lumière et à ce moment-là, tu t’es senti t’élever dans le ciel. Tu as vu la planète bleue et tu as continué ton voyage à une vitesse vertigineuse, bien au-delà de la vitesse de la lumière. C’est la vitesse de l’amour. Tu t’es senti happé par le soleil, tu l’as d’abord survolé et tu t’es rendu compte que la lumière éblouissante du soleil était comme une couche de nuages lumineux et tu les as traversé. Tu as vu en-dessous la surface d’une planète tout comme la terre, à la différence que la vibration y est plus proche de celle de la source, tout comme celle que tu as pu voir dans l’espace intime de ton cœur, au centre de la fontaine brillante. Cette vibration est celle qui sera bientôt celle de la terre lorsqu’elle aura effectué sa transformation profonde, quand elle aura dépassé les peurs et les limitations, et retrouvé sa connexion avec la source du Père. En effectuant ce voyage, tu as participé à cette reconnexion, tu as crée le vortex personnel qui multiplié à l’infini saura sans difficulté amener la planète à sa nouvelle vibration. C’est bien cela, le travail qui t’es demandé aujourd’hui : ici et maintenant. Laisse de côté tes peurs et tes demandes qui sont liées à la dualité : elles appartiennent à l’ancien monde, l’ancien rêve que l’ensemble des habitants de la terre va quitter prochainement. Te voici revenu à ton origine. Tu as vu la splendeur du soleil, aperçu les villages dorés, comme des hameaux tranquilles, avec ses maisonnettes juste assez grandes pour y faire des veillées intimes à quelques-uns. Tu t’es senti attiré par le temple que tu as aperçu sur une pente douce, qui t’as fait penser à celle d’un immense volcan. Tu as passé les portes du temple qui t’avais semblé d’abord très haut comme celui de Louxor pour finalement en l’approchant se révéler être le petit temple simple de …ton intimité. Dans ta grandeur, ce temple est en effet tout petit. Là tu as vu l’être de lumière que je suis, que tu es, que je suis en tant que Michaël serviteur du Très-Haut. Tu t’es incliné et tu as reçu ce que tu devais recevoir aujourd’hui, ici et maintenant. Tu t’es montré un peu hésitant, sentant parfois en même temps ton corps physique qui était resté à Saint-Cyr. Ne t’inquiète pas pour lui, oui bien sûr celui-ci était resté à Saint-Cyr tandis que tu t’étais élevé pour recevoir cet enseignement. Sois rassuré maintenant sur ton devenir : agis tranquillement à l’instant sans te poser aucune question. Va selon l’inspiration simple de l’instant. Ainsi tu incarnes la lumière divine, celle que tu as reçue de la Source. Chaque fois que tu en sentiras la nécessité, si possible chaque jour, reviens à l’espace sacré du cœur. Et chaque fois que tu en sentiras la nécessité, demande Mickhaël : je suis à ton service. Ainsi toi aussi tu es au service du grand dessein.
Bientôt la terre brillera comme jamais dans le multi-univers de la création. Elle portera l’amour éternel et la gratitude pour son créateur car elle se souviendra de ce qu’elle est dans sa Vérité. Sois apaisé désormais.
J’ai parlé, je t’aime. Je suis l'Archange Mickhaël. Partage ce message, il ne t’appartient pas : il est de portée universelle. Aum.

mardi 17 mars 2009

Zen


Il est dit dans l'enseignement zen que tout l'univers est contenu dans une perle.
La perle est le fruit que découvre le chercheur de vérité lorsqu'il a calmé les huit vents de l'ego. Les huit vents sont le profit (le calcul de son petit intérêt), la nuisance (que l'on redoute), la peur d'être critiqué, vouloir être admiré, la recherche des honneurs, la peur d'être critiqué en face, la douleur (souffrance physique), la joie (le réconfort)...
Le sage est comme le héron qui ne se soucie pas du vent qui agite les arbres et pêche. Bienheureux celui qui saura exercer le discernement pour voir les faux semblant de son intellect qui l'empêchent de s'élever à cette vérité de l'instant, hors de toute préoccupation personnelle... Mais comme c'est difficile...
(Tous droits réservés, ne pas reproduire sans inclure cette ligne  : Source blog http://aquaryoga.blogspot.com,  J.A.E., auteur )

lundi 2 mars 2009

Lumière d'Egypte 2


L'Egypte est la terre d'initiation des hommes. Elle porte en elle la mémoire qui fait de l'homme mâle ce qu'il est...
de la même façon Mooréa porte la mémoire du féminin...
Ainsi faire un voyage en Egypte pour un homme, c'est se connecter avec sa mémoire profonde d'homme.
De la même façon, une femme qui va à Mooréa se connecte avec sa part féminine la plus enfouie.
Ces voyages sont initiatiques...parce que les deux pôles secrets de la terre - le mâle et le femelle se joignent sur ces deux lieux par son centre. Pour ma part, le voyage en Egypte a été le moment le plus fort de mon existence. Pour en savoir plus, lire les livres de Drunvalo Melchizedek (éditions Ariane)

dimanche 1 mars 2009

Lumière d'Egypte


Oh! Isis, bien-aimée déesse de la beauté suprême et des délices enchantées ; Femme des femmes, mère de toutes les mères, ton fils Sekenenrê rend hommage à ton sein qui l’a nourri depuis la plus tendre enfance. Ceci jusqu’au jour sombre de la décrépitude du corps imparfait qui a porté son âme, jusqu’en ce jour béni d’entre tous où son âme s’apprête au grand voyage. Jour béni pour être celui de l’offrande. Toi qui a accompagné chacun de ses pas, ton fils veut témoigner auprès du sien de ta grandeur ineffable. Il transmet ainsi la lumière qu’il a reçu de toi à son fils bien-aimé, se fondant ainsi dans l’univers d’Amon Râ ; Qu’ainsi Sekenenrê ne soit plus ! Et que resplendisse à jamais la lumière d’Isis sur l’Egypte éternelle !

vendredi 27 février 2009

Une histoire simple


Il y eut une fois en Chine il y a trés longtemps, un empereur qui cherchait la vraie loi. Abandonnant toute préoccupation matèrielle, transmettant tout pouvoir à ses ministres, il trouva refuge dans une pagode tout près d'une forêt de bambous. Là il vécut de nombreuses années en silence, méditant nuit et jour. Ce long retrait dans les profondeurs de son âme finit par produire le chie, énergie de la sagesse véritable. On raconte partout en Chine, qu'il fut le premier à enseigner que la nature de la sagesse ne peut pas être enseignée car nul cerveau ne peut percevoir la réalité dans sa totalité. Il parcourut la Chine et transmit cette sagesse, qui ne s'apprend que par soi-même. Son corps était devenu une pure vibration d'amour qui se transmettait aux autres, même à leur insu. Ainsi, les hommes et femmes à son contact reconnaissaient leur essence et changeaient. Ainsi se répand en ce monde la vérité du coeur. Elle ne dépend de rien ni de personne. C'est la divine providence...
(http://www.aquaryoga.blogspot.fr © tout droit de reproduction réservé, texte et images, ne pas reproduire sans inclure cette ligne, merci)
 

mardi 17 février 2009

Histoire zen

Nan In était un moine, vivant durant l'ère Meiji. Pour se rapprocher du vrai Dharma, il suivait les préceptes d'un grand maître zen. Il le suivait partout, se comportant comme son ombre, s'oubliant toujours. Lorsque le maître se levait, il se levait. Lorsqu'il faisait zazen, il faisait zazen. Tandis qu'il prenait sa galette de riz et son thé, il prenait lui aussi son riz et son thé. Le maître parlait peu et sa présence seulement suffisait à l'emplir de béatitude et de bien-être. Il vécut ainsi de nombreuses années, espérant pouvoir atteindre un jour l'état de Satori.
Un jour pluvieux son maître se tourna vers lui et lui dit :
" Nan-In, tu me suis partout, comme un chien fidèle. Tes gestes sont mes gestes. Ta parole seule est absente quand la mienne rompt régulièrement le silence. As tu maintenant trouvé le Satori?"
Nan-In considéra son maître en silence. A cet instant, il sentit un vent léger se lever et les nuages disparurent comme par enchantement. La pluie avait cessé.
Autour d'eux, dans le grand jardin de méditation, les arbres étaient comme une tribu qui les observait en silence, attendant la voix de Nan-In.
Nan-In sentait qu'il n'était plus Nan-In. Le maître était lui. Les arbres étaient lui... Il était comme une bouteille vide, qui contenait tout l'univers...
(Aquarelle d'aprés Hiroshige, vue du mont Fuji- détail)

(Tous droits réservés, ne pas reproduire sans inclure cette ligne  : Source blog http://aquaryoga.blogspot.com,  J.A.E., auteur )

lundi 16 février 2009

Désert solitaire

Ouazhil a terminé sa prière matinale. Il roule son petit tapis puis se ravise. Le vent ne faiblit pas pour l’instant. Autant attendre encore. Il s’assoit sur une pierre plate et se recroqueville, embrassant ses genoux en les enserrant de ses mains. Il pose ses arcades sourcilières contre ses rotules et attend. Le vent a un son multiple. A l’irrégularité du sifflement aigu vient s’ajouter un autre son plus grave, comme l’addition d’échos lointains, qui perdurent. Le croisement des sons fait une mélodie. Bientôt, il entend aussi un sifflement très fin qui semble provenir de son oreille gauche. Les trois sons sont en harmonie. C’est une musique. Oui une musique…la danse du monde, la danse du désert. « Dieu est grand »Dans la mélodie du désert, Ouazhil soudain est sans pensée. Il oublie jusque la mission qui l’amène à Halab. Plus rien n’existe que le désert et le son du vent. Il se sent bien, totalement apaisé. Il est devenu une pierre du désert et c’est ainsi que perdure en lui le sentiment d’unité, le sentiment du sens de ce qu’il vit. Par cet instant soudain, il comprend l’ampleur de sa tâche ...
(Extrait du manuscrit en cours : le combattant d'Alep, (Syrie XIIIème siècle)(tous droits réservés, déposé SGDL)
Bel instant présent à toi, lecteur de ce blog...

lundi 9 février 2009

Monts d'or


Les monts sont enneigés ce jour...
Il règne une atmosphère feutrée
comme au premier matin du monde.
Mes pas craquèlent sous les croutes humides que fait la neige. A cet instant, il y a un grand silence que seul le croassement lointain d'un corbeau vient rompre. J'ai oublié qui j'étais, je crois que je ne suis plus...tous les intants magiques comme celui-ci se révèlent dans ce pas, qui est comme le premier de milliards d'autres que j'ai pu faire...miriade de vies, miriades d'impressions qui se chevauchent dans le miracle de cette journée. Mon âme est en paix...il y a de la joie dans l'air frais du matin, comme un hommage vibrant au créateur, comme une étincelle jaillissant sur terre et qui retourne à sa source...celle qu'évoquait sur ces pages Jean-Jacques Rousseau...La source me nourrit, mon coeur est en paix. La vie est belle. Je laisse l'harmonie du monde m'envahir. Je me sens une infinie gratitude pour mon Père, pour la Mère divine, tout est bien. Oh! Grâce infinie de l'instant!

dimanche 8 février 2009

Qu'est-ce que l'Être ?

...A mesure que j'approche en esprit cette éternelle lumière, son éclat m'éblouit, me trouble, et je suis forcé d'abandonner toute notion terrestre qui m'aidaient à l'imaginer. Dieu n'est plus corporel et sensible; la suprême intelligence qui régit le monde n'est plus le monde sensible (...)
Nous ne sommes libres que parce qu'il veut que nous le soyons et sa substance inexplicable est à nos âmes ce que nos ames sont à nos corps. (...)
Enfin, plus je m'efforce de contempler son essence infinie, moins je la conçois. Mais elle est, cela me suffit. Moins je la conçois, plus je l'adore. Je m'humilie, et lui dis : Être des êtres, je suis parce que tu es ; et c'est m'élever à ma source que de te méditer sans cesse. Le plus digne usage de ma raison est de s'anéantir devant toi : c'est mon ravissement d'esprit, ...de me sentir accablé de ta grandeur...
Emile Livre IV , 1762 Jean-Jacques ROUSSEAU
voir sur le même thème  : Être soi en totalité 
et aussi Dans la  conscience d'Unité de l'être 
et encore Être soi, vivre sa vérité dans l'instant présent (être zen)
et également Lumière de l'être 

lundi 26 janvier 2009

Isis mon amour ...


Tout prés du temple de Ramsès II, accrochées à flanc de la montagne thébaine, visibles de loin, quasiment depuis la rive-est du Nil, se trouvent les tombes des nobles et hauts-dignitaires du royaume. Ce sont des grottes à l’entrée rectangulaire, côtes à côtes qui surplombent le village de Gournah. Certaines sont aussi isolées légèrement en retrait des maisons du village. Les ânes circulent sur les sentiers rocailleux tandis que quelques touristes curieux ou égarés viennent jeter un œil…Pas de foule…La tombe de Senefer, intendant d’Amenophis II et maire de Thèbes selon les guide se mérite : on monte d’abord sous la canicule un sentier dans le village. Passé une petite tonnelle de bambous, on arrive à l’entrée de celle-ci marquée d’un petit écriteau. Le gardien est là. Il faut se baisser et descendre un long escalier…une première pièce carrée à la voûte garnie de grappes symbolise l’aisance de cet homme du cénacle. La salle m’a bouleversé, Isis, tout comme la suivante, tant elle exprime ce que peut être la perfection de l’amour d’un homme et d’une femme. Le dignitaire Senefer est représenté avec sa femme (préférée), souvent dans des gestuels tendres, dans lesquels l’épouse rend hommage à son époux. Elle l’enlace, ses bras reposant sur les siens ou se tient tout prés de lui, dans une posture similaire lorsqu’il se présente dans un hommage à pharaon ou devant les dieux Osiris et Anubis. Dans la deuxième salle soutenue par quatre colonnes épaisses et basses, on voit le couple à foison, sur toutes les parois, sur chaque face des colonnes de forme parallélépipédique. Symbole merveilleux de l’amour du couple dans cette dévotion de l’épouse …
Isis, mon amour, Chemin de l'Egypte éternelle à paraître en 2009
Aquarelle : Temple de Medinet Habou, vallée des rois (détail)

mardi 20 janvier 2009

Isis mon amour, chemins de l'Egypte éternelle (extrait)


Papyrus .0
Ce papyrus qui était enroulé sur le premier d’entre eux, constitue sans doute son préambule. Il est écrit comme les autres en écriture hiératique : l’auteur n’y voyait pas un message à valeur de conservation quelconque.

Je me nomme Sekenenré.
Je suis intendant en chef des récoltes des temples de Thèbes.

Cette lourde charge m’a été donnée par héritage de mon père, qui l’avait lui-même héritée de son père. Cela après des années d’apprentissage au palais et dans les temples. Cependant, en ce monde d’ici-bas, je sais combien cette place qui m’a été accordée ne l’a été que par suite d’un long cheminement parsemé d’embûches. Un parcours nécessaire pour faire de Sekenenrê le scribe qu’il est devenu. Sans cet itinéraire qui va depuis la plus tendre enfance à la découverte des voiles de l’ignorance, rien ne serait possible. Mon fils aîné, permet-moi au moment où les dieux s’apprêtent à rappeler en leur royaume leur enfant qu’est Sekenenrê de te faire au seuil du tombeau le descriptif des pas qu’il lui a fallu suivre. Tu mettras tes pieds là où son talon a foulé la terre, tu découvriras à ton tour l’ampleur de l’ignorance du peuple d’Egypte, celui qui n’a pas accès au cénacle fermé des temples d’Isis, Osiris et Anubis.
Tu liras ces lignes, mon aîné au fur et à mesure de ton cheminement. Chacune de tes épreuves passées, j’ai donné instruction afin que ces papyrus te soit remis. Ainsi, ton père partagera avec toi les mystères, te faisant témoin de ses propres pas, afin que tu en jouisses et puisses tirer de cette double expérience, la tienne et celle de ton père, toute la magnificence. Osiris soie loué de permettre cette transmission sur la terre d’Egypte. Pharaon m’est témoin qu’ainsi sera assurée la magie de la haute initiation qui réunit l’homme à son créateur, et qu’elle vivra toujours et pour les siècles sur cette terre bénie.
Et parce qu’aucun chemin n’est possible sans passer par la déesse, ce n’est pas à toi que je m’adresserai mon fils mais à Isis, la déesse protectrice et bienfaitrice. Tu comprendras quand tu auras franchi tous les stades des mystères pourquoi seule la déesse bienfaitrice pouvait en être la destinatrice. Pourquoi, c’est à travers elle que Sekenenrê parle à Menkhi …son fils bien-aimé.
(...)

Isis mon amour, Chemins de l'Egypte éternelle devrait paraître cette année...soit en album soit en format littérature...du retard!!! patience!!!

lundi 5 janvier 2009

Réel

J'ai transmis trois arguments du réel, je ne sais pas, tout change et tout est le réel
Yvan AMAR l'alchimie de l'homme Ed. du relié

samedi 3 janvier 2009

2009 sous le signe du...désert : BONNE ANNEE A TOUS

Joie pénétrante, ivresse à la fois subtile et brutale, violente et douce, torpeur divine; on baigne,
engourdi de bien-être, dans les chaudes irradiations qui stagnent,
en lourdes nappes, aux creux de la dune,
dans l'embrasement d'un air surchauffé, palpitant au loin sur le faux horizon d'un mirage.

" Loué sois-tu Seigneur, pour notre frère le soleil " qui saoule nos yeux de clarté
et nous étourdit d'une étrange béatitude! "

Théodore Monod Méharées Ed Actes Sud / Babel

vendredi 2 janvier 2009

Une année 11 et 2 : 2009 toute neuve !

2009 ...année nouvelle...
Une amie m'a envoyé l'analyse numérologique de 2009.
L'année est sous le signe du 11 et du 2.
Le 11 : énergie d'être ensemble, partager, recevoir puis donner, association
Le 2 : féminité, ouverture, complémentarité et alternance
Que les énergies du 11 et du 2 vous nourrissent !